Aujourd’hui, 52% DES SURFACES de terre cultivable sont actuellement dégradées ou très dégradées. À l’échelle de l’Europe, on parle de 80 Millions d’hectares dégradés (Source FAO).
Un sol dégradé génère des problèmes en cascade : problèmes de structure (compaction, battance, hydromorphie, …) qui ont des impacts sur les cultures (germination, structure racinaire,…), mauvaise décomposition de la matière organique, diminution de la fertilité des sols, faible disponibilité des minéraux, lessivages,…
En restaurant leurs fonctions vitales, les sols sont mieux préparés pour faire face aux effets du dérèglement climatique, aux différentes maladies des cultures, et permettent aux agriculteurs de produire plus avec moins d’intrants (engrais de synthèses, produits de protection des plantes, carburant).
La recherche du meilleur maintien des taux d’humus et de productivité par un meilleur équilibre entre les populations microbiennes (bactéries, champignons).