Un sol agricole idéal se compose d'environ 25% d’air, 25% d’eau, 45% de minéraux et 5% de matière organique.
Source: Albrecht Papers - publication Acres USA
Aborder la fertilité du sol, c’est appréhender quatre notions de fertilité : la fertilité physique, la fertilité biologique, la fertilité chimique et la fertilité hydrique.
Activité des organismes du sol, évolution de la matière organique, densité et profondeur racinaire…
Gestion des réserves en eau (stockage de l’eau, drainage, hydromorphie…)
Organisation des particules de Sol, structure de surface…
Équilibre cationique, CEC, disponibilité des minéraux, lessivage…
Pratiques agricoles, techniques culturales, sélection variétale, conditions climatiques entrent en compte dans la performance, etc. Tous les paramètres entrent en compte mais ce qui va faire la différence, c'est l'équilibre minéral et biologique.
La recherche de l’équilibre minéral par la gestion des déficits et excès des minéraux dans les sols.
La recherche du meilleur maintien des taux d’humus et de productivité par un meilleur équilibre entre les populations microbiennes (bactéries,champignons).
Déstockage humus,
compaction, carences,
parasitisme, adventices résistantes
Stockage humus,
résilience, porosité,
santé
L’agriculteur ne pourra également survivre que si son outil de travail principal, le sol, conserve une vitalité suffisante pour assurer gratuitement des fonctions insoupçonnées.
Le sol est global et aucune de ses fonctions telles que l’épuration des eaux, une nutrition régulière des plantes, la santé des cultures et le stockage du carbone, ne peut être assurée seule. C’est tout ou rien.
Qu’il s’agisse d’eau, de nutrition ou de santé des plantes et aussi de stockage de carbone, l’innovation pour l’agriculture est d’appréhender le tout en commençant par redonner et booster la vie à nos sols cultivés.